Tagazok, prince du Music Hall
mardi 9 août 2011 à 15:34
Etant moi même un grand fan de gilets, je me suis lancé cet été dans un petit atelier "Arts plastiques" avec pour objectif de refaire un peu la garde robe de Tagazok, le petit mouton en peluche qui orne mon sac. Et bien c'est plus galère qu'il n'y parait ...
La première étape a consisté à prendre un peu les mesures de la bête, doté du même physique de sportif de haut niveau que moi même (ventre large, torse étroit), pour un premier prototype en papier retenu par des épingles (en fait 4 ou 5 avant d'en avoir un satisfaisant, mais la magie du récit fait que seul le plus abouti est présenté ici).
Vint ensuite un second prototype, en tissu cette fois (en chutes de chiffon, 'faut pas déconner non plus ...). C'est à l'arrière que ça se complique, Tagazok ayant la mauvaise idée d'avoir une queue plutôt encombrante et une bedaine fort conséquente. Après avoir essayé avec peu de succès le modèle queue de pie qui aurait eut la bonne idée de tomber de part et d'autre de l'appendice en question, j'ai du me rabattre sur une solution plus artisanale, à savoir percer le tissu et ajouter une épingle pour garder le tissu tendu.
Une fois les pièces bien ajustées, les aiguilles sont remplacées par un premier essai de couture dont je suis plutôt fier. Les derniers essayages étant satisfaisants, je suis ensuite passé à l'habit en question, dans le tissu que j'avais choisi : un blanc classique orné de losanges discrets sur la face extérieure pour la face avant, un coton blanc plus classique pour la face arrière.
Une fois le gilet terminé, viennent les accessoires : le mouchoir dans le poche avant et la cravate, le chapeau découpé dans du carton et l'épingle pour la canne. Puis enfin la mise en scène, dans un tiroir de mon bureau. Au final j'ai laissé tomber le chapeau et la canne, mais ceux qui ont l'occasion de me croiser pourront toujours croiser Tagazok dans son costume de bal à la glissière de mon sac à dos.
La première étape a consisté à prendre un peu les mesures de la bête, doté du même physique de sportif de haut niveau que moi même (ventre large, torse étroit), pour un premier prototype en papier retenu par des épingles (en fait 4 ou 5 avant d'en avoir un satisfaisant, mais la magie du récit fait que seul le plus abouti est présenté ici).
Vint ensuite un second prototype, en tissu cette fois (en chutes de chiffon, 'faut pas déconner non plus ...). C'est à l'arrière que ça se complique, Tagazok ayant la mauvaise idée d'avoir une queue plutôt encombrante et une bedaine fort conséquente. Après avoir essayé avec peu de succès le modèle queue de pie qui aurait eut la bonne idée de tomber de part et d'autre de l'appendice en question, j'ai du me rabattre sur une solution plus artisanale, à savoir percer le tissu et ajouter une épingle pour garder le tissu tendu.
Une fois les pièces bien ajustées, les aiguilles sont remplacées par un premier essai de couture dont je suis plutôt fier. Les derniers essayages étant satisfaisants, je suis ensuite passé à l'habit en question, dans le tissu que j'avais choisi : un blanc classique orné de losanges discrets sur la face extérieure pour la face avant, un coton blanc plus classique pour la face arrière.
Une fois le gilet terminé, viennent les accessoires : le mouchoir dans le poche avant et la cravate, le chapeau découpé dans du carton et l'épingle pour la canne. Puis enfin la mise en scène, dans un tiroir de mon bureau. Au final j'ai laissé tomber le chapeau et la canne, mais ceux qui ont l'occasion de me croiser pourront toujours croiser Tagazok dans son costume de bal à la glissière de mon sac à dos.